Bonjour à toutes,

INTERMEZZO,

mille mercis pour cet exposé qui permet de mieux cerner cette terrible maladie qui frappe ton fils et qui permet aussi de prendre pleine conscience de l'importance de l'aide de ses proches, de leur rôle dans son rétablissement.
Je retiens le mot guérison. Autant d'espoir sur lequel tu te reposes depuis tant d'années déjà et qui va te permettre de poursuivre.

ELORA,

tu as bien raison, si ici on trouve du réconfort, c'est déjà bien.
Les beaux jours vont arriver, le soleil, la douceur et ton mari pourra gratter le jardin avec toi. C'est peut-être une bonne thérapie pour lui qui a été contraint pendant longtemps à lever le pied.
Ce n'est pas son tempérament, il a dû mal vivre cette mise au calme forcée.
J'espère que tu as pu te rapprocher de la personne dont je t'avais parlée. Je t'ai même envoyé un M.P.
Toi aussi tu as ton lot de soucis à porter !
Toute cette "misère" morale pour bon nombre d'entre nous ! Ensembles, nous serons plus fortes.

MAUCHI,

je comprends ta mise au second plan. Ton bonheur, c'est ta petite famille, ils sont ton oxygène, tu passes en deuxième ou tu amenuises ce qui te concerne, car ton moule, c'est te débouiller seule, c'est d'avoir un auto langage du style "je suis forte, je m'en sortirai". Et je pense même que tu n'as pas le réflexe de demander de l'aide à qui que ce soit. Certes, ça peut être une force que de surmonter en silence. Fort heureusement aujourd'hui tu oses ouvrir la porte timidement sur tes propres souffrances. Quel grand pas déjà. (c'est mon ressenti lorsque je te lis, je veux insister sur le fait que je ne te juge pas et que de plus je peux avoir tout faux sur toute la ligne).

Bon réveil à toutes.

Courage internezzo un jour ou l'autre ca cessera ou du moins en partie.

Bonne nuit a tous

ESTON

Je peux continuer, mais il faudrait y passer la nuit !

En tous les cas c'est bien triste crois-moi. On veut l'aider, mais comment ? et quelle souffrance depuis tant d'années !

pfff !

Assez parlé pour ce soir, je vais encore avoir du mal à m'endormir. . .. et faire des mauvais rêves. . .. Pourtant, comme je l'aime et combien j'ai peur pour lui !

Bonne nuit.

Bonsoir,

je viens comme tjrs en ce moment en coup de vent
je vous ai lu et comme Qui lit ca m'a bcp touchée, que de souffrances sur ce forum mais je pense que d'écrire doit faire du bien à celles qui se confient car on ne se connait pas et surtout on ne juge pas ici ce n'est pas un tribunal, on pose ce qu'on a sur le coeur, nos soucis ect et si ca fait du bien tant mieux le forum aura servi au moins à ca
La petite fille de Sonia n'a pas encore pointé son petit nez elle a raison il fait vraiment trop froid pour une fin mars
peut etre pour le 1èr avril quel beau poisson!!
je vous souhaite une bonne nuit

ESTON
Borderline (suite)
Ce sont parfois des patients généralement capables de maîtriser leur flux émotionnel "quand il le faut", de façon à ne pas aller en institution psychiatrique. Ils sont terrifiés à l'idée d'être abandonnés, mais sont en même temps incapables d'empêcher leur maladie de détruire leurs relations; Certains auront uncocon qui sera par exemple un conjoint ou ses parents.Parfois crises d'épilepsie (c'est son cas) traumatismes crâniens, abus d'alcool, de drogue; Le patient ne peut pas guérir seul, ce n'est pas une question de volonté. Cela n'est pas possible sans médicaments et une thérapie adaptée;Le soutien moral est indispensable surtout lorsque l'on sait que le suicide est aussi une caractéristique commune et importante de ce trouble bordeline état limite. On guérit de ce trouble où tous les symptomes peuvent disparaîtresz. Cela mérite d'être cité, car ce n'est pas le cas de tous les troubles de la personnalité et encore moins de toutes maladies mentales. Le traitement reposant sur des médicaments adaptés, mais aussi une thérapie adaptée pour rééduquer le cerveau qui était malade. En France, seul un médecin psychiatre a le droit de prescrire des médicaments et de conduire à une telle thérapie.
une autre caractéristique commune est le mensonge, le déni, la manipulation. Mais il n'est pas un menteur pathologique, il utilise des mensonges "à bon escient", pour se protéger et non pour faire du mal; Il n'y a rien de honteux dans cette maladie; ils ne sont pas méchants ni sans coeur, égocentriques. ils ont besoin d'empathie et de compassion; une personne souffrant de ce trouble a aussi de nombreuses qualités même si son trouble peut l'empêcher de s'exprimer; inutile de se focaliser sur les raisons du pourquoi ou comment (facile à dire !), de se dire c'est ma faute car c'est à la fois sans intérêt mais aussi faux. Ce qui compte c'est soutenir la personne qui souffre pour qu'elle cesse de souffrir et qu'elle guérisse. Cela en vaut la peine.

SONIA,

c'est INTERMEZZO qui demandait si c'était ton premier petit enfant, pas moi ;)
Bonne nuit, repose-toi bien.

ESTON,

pas de souci, tu n'as pas à t'excuser pour la confusion. ;)
Je ne saurais te synthétiser tout ce que j'ai lu pour cette maladie.
Ce que je peux te dire ; borderline ou en français état limite.
Il y a pas mal de forums sur google.

Je vous souhaite une bonne nuit.

Bonsoir ESTON,
Borderline : les personnes souffrant de ce trouble sont des adultes sans la moindre déficience intellectuelle mais émotionnellement perturbées et avec des comportements pouvant parfois sembler excessifs, enfantins ou immatures."tempêtes émotionnelles", changements d'humeur soudains et compulsivité. Elles sont incapables d'avoir une vie "normale", conjoint, famille, enfants, amis, avec de "vraies" relations durables;..
Leur vie est une véritable "souffrance" car elles présentent à leur entourage une apparence de "normalité". Pour les personnes souffrant de ce trouble, se conduire longtemps en adulte "comme tout le monde" est un rôle qu'elle doivent se forcer à jouer alors qu'elles sont en véritable détresse. Ils ressemblent à des enfants perturbés prisonnier d'un corps d'adulte, mais sont en fait des adultes victimes de leurs émotions. Comportement réducteur qui s'effrite subitement et sans provocation apparente en des pleurs ou en une colère d'enfant perturbé. Trouble de l'émotion, dérégulation émotionnelle, surémotivité, hyperémotivité. Anxiété, sentiment d'être une victime, accès de colère fréquents ou imprévisibles, image de soi instable, comportement autodestructeur, attaque de rage, tentatives de suicide, incapable de gérer ses émotions. On ne nait par bordeline, c'est un trouble mental, une maladie. En le protégeant, nous l'empêchons de prendre conscience conscience de son état et le déresponsabilisons ! Les patients souffrent énormément de cet état, ils sont complètement conscients de leur problème, stratégie de camouflage. Passent de l'état "d'ange" à celui de "monstre" apparamment sans coeur et sans état d'âme. Leur vie n'est souvent qu'angoisse, peur panique. Entre l'échec, la souffrance et l'inconnu, ils choisissent l'échec, le renoncement, problèmes de concentration, ils peuvent bien sûr "fonctionner" normalement mais sous stress, ce qui les épuise, ils n'arrivent donc pas à garder un emploi, dysphonie "négatif" sentiment de vide. . ..

Comme je compathie. Vous lire me fais du bien. Jai toujours considere mes pb comme secondaire en voulant aider les autres et en me disant qu il y a plus malheureux. En pleine depression il y a qq annees ma mere ma dit qu il y aura toujours plus malheureux que moi mais que je ne dois pas me faire passer en dernier pour autant et qu on a tous sa croix a porter. Je suis la petite derniere jai 2 grands freres et entre eux et mes parents jai vu entendu et subi des choses qui mont qq part un peu detruite. Ce qui me fait dire que en tant que derniere nee je suis plus solide mais voila jai aussi mes faiblesse. Et quand jai dit que mes pb netaient pas si grave je me ment a moi meme. . . Une facon de me proteger. Depuis toutes ces annees jai appris a vivre avec certaines choses ce qui m importe aujourd'hui cest le bien etre de mon couple et de mon fils ce qui me rend heureuse cest pourquoi je cherche la reponse a ces reves qui me font reellement flipper. Je me reveille epuisee comme si javais fait un marathon et mon moral en prend un coup.

Courage et mes amities a tous on en a tous besoins

qui lit6 non c est pas mon premier petit enfant c est mon
dixieme je suis grand mere pour la 10e fois
bonne soiree a toutes et bon courage a celle qui on des probleme

bonsoir perdre un enfant c est arrivée a ma belle-mère un suicide elle ne s en ait pas remis il y a un an elle a arreter l alcool grace a mon mari on veilles sur elle premier hiver ou elle ne va pas a l hopital elle est insufisante respiratoire et vcardiaque elle est sous oxygène j ai aussi une amie qui a perdu son fils extasy elle compenses en man/geant elle fait plus de 100kg le psy lui a dit qu insconciament elle nourrissait son fils mort elle m a dit que c était une souffrance on ne peut imaginé on survit c es tout on y penses sans arret.Ton frère et ta belle-soeur on eut un sacré cataclysme ds leur vie INTERMEZZOIl n y a pas de petite souffrance je suis d accords avec QUI LIT au fait excuses moi j ai mal interprété tes écrits je me suis dit une pathologie que je ne connait pas bordeline ca veut dire quoi INTERMEZZO au bords de quelque chose a coté de quelque chose en tout cas s il pouvait voir son enfant ca l aidrait je comprends les services sociaux mais quand il est bien sous surveillance d un éducateur ds un milieux protégé ca se fait quand meme c est inhumain bises ESTON