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Le confinement se prolonge et je pense que c’est le moment de vous aider en vous apprenant quelque chose de très important quand on veut faire attention à son alimentation : savoir bien lire les étiquettes alimentaires. Lisez bien cette lettre et regardez bien cette vidéo.
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Chère BienMangeuse, cher BienMangeur,
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C’est compliqué de lire une étiquette alimentaire vous ne trouvez pas ? Les données sont parfois par portion, par 100 g… il faut faire des calculs…
Aujourd’hui, je vais essayer de vous éclaircir tout ça afin de vous simplifier la vie quand vous allez faire vos courses (malgré les difficultés actuelles, mais cela vous sera toujours utile) car croyez-moi, en sachant bien lire les étiquettes, vous ferez beaucoup plus attention à ce que vous consommez et votre alimentation s’améliorera.
Lire les étiquettes, c’est bon pour la santé !
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Savoir bien lire une étiquette, c’est un acte très important pour bien se nourrir. Comprendre ce qui est écrit permet d’exercer librement votre choix.
Et vu la multiplicité des produits et l’offre de plus en plus sophistiquée, le décryptage des étiquettes devient un acte essentiel de votre vie de consommateur averti.
Dès lors, on distingue les mentions réglementaires obligatoires et les mentions facultatives. De plus en plus fréquemment, on rencontre également un pavé d’informations nutritionnelles et des “allégations” (terme officiel pour dire informations qui visent à valoriser le produit) générales, nutritionnelles quantitatives ou fonctionnelles, ou relatives à la santé.
Les mentions obligatoires
Il y en a sept principales :
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la dénomination de vente,
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la liste des ingrédients,
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la quantité nette,
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les dates de consommation,
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le lot de fabrication,
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les coordonnées du responsable et diverses mentions particulières.
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Faire vos courses, c’est aussi un atelier de décryptage
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La dénomination de vente
C’est la description de la denrée alimentaire. Elle indique la nature de l’aliment contenu dans l’emballage (petit pois, champignons…) et mentionne le traitement subi (déshydraté, surgelé, fumé…) ou l’état physique de sa présentation (poudre, décongelé…).
Si le produit contient un ou plusieurs édulcorants, leur inscription sur l’emballage est obligatoire.
La liste des ingrédients
Elle comprend tous les composants entrant dans la fabrication du produit acheté par le consommateur. Les ingrédients de la liste sont classés par quantité, de la plus grande à la plus faible.
Par exemple, dans un plat préparé de bœuf bourguignon de 400 g, si l’on voit en premier pommes de terre 40 %, bœuf 20 %, sauce…
Cela signifie que les pommes de terre représentent 40 % du poids de l’ensemble, soit 160 g, le bœuf 80 g et la sauce peut-être le reste.
Quand vous voyez ”riche en”, la quantité doit être affichée (soit riche en crème soit riche en tomates…). Les additifs, eux, sont classés par catégories et désignés par leur nom, ou par leur numéro européen (la lettre E).
Ce thème à déjà été traité dans une précédente lettre, vous pouvez retrouver l’historique en bas de page.
Le premier ingrédient sur la liste est le plus présent dans la préparation
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De même, les produits alimentaires issus de culture OGM (organisme génétiquement modifié) doivent être signalés sur l’étiquetage. Il est admis la présence fortuite d’OGM pouvant survenir au stade de la semence, de la culture ou du transport, à partir du seuil de 0,9 %.
Nous disposons ainsi d’une liste plus précise des ingrédients : nous connaissons par exemple la composition d’une merguez ajoutée à un plat composé. Il est alors un peu plus facile de juger de la qualité des ingrédients.
La quantité nette
Il s’agit en fait de la part consommable, c’est-à-dire le poids net égoutté pour les conserves en légumes ou la quantité de produit réellement à manger pour un plat préparé.
Date de consommation
Elle indique au consommateur la période pendant laquelle le produit conserve les propriétés intrinsèques lui permettant d’être consommé. Les conditions de conservation doivent aussi être précisées, si nécessaire.
Date limite de consommation (DLC)
“À consommer jusqu’au…” Nuance, la DLC n’apparaît que sur les denrées périssables (produits laitiers frais, œufs…) dont la consommation au-delà de cette date peut présenter un danger immédiat pour la santé humaine.
DLC ou DLUO ? Une info sanitaire et une info qualité
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Date limite d’utilisation optimale (DLUO)
“À consommer de préférence avant le…” ou “À consommer de préférence avant fin…” précise la date au-delà de laquelle les qualités gustatives ou nutritionnelles du produit risquent de s’altérer.
Lot de fabrication
Le lot est un ensemble de produits fabriqués dans des conditions identiques, heure, lieu et processus de fabrication. C’est donc la carte d’identité du produit.
Il est très utile et essentiel à la traçabilité, en cas de défaut, pour rechercher tous les produits fabriqués au même moment, dans la même usine.
Rappelez-vous en 2017 quand Lactalis a rappelé les lots de lait en poudre produits dans son usine de Mayenne suite à une contamination à la salmonelle.
Coordonnées du responsable
Elles doivent comporter le nom et l’adresse du fabricant, du conditionneur, d’un distributeur ou d’un importateur situé dans l’Union européenne. Le consommateur saura ainsi contre qui se retourner en cas de contestation.
Certaines mentions particulières obligatoires
Le degré d’alcool quand il est supérieur à 1,2 % d’alcool en volume.
La matière grasse des fromages doit être exprimée pour 100 g de matière sèche, c’est-à-dire sans l’eau de constitution.
Les valeurs nutritives, vous êtes bons en maths ?
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La mention “Contient une source de phénylalanine”, pour les denrées contenant de l’aspartame.
La mention “Une consommation excessive peut avoir des effets laxatifs” pour les denrées alimentaires contenant plus de 10 % de polyols, édulcorant de synthèse de masse que l’on trouve par exemple dans les confiseries allégées en sucre.
Une nouvelle réglementation pour les allergènes
Actuellement, 2 à 4 % de l’ensemble de la population française et 8 % de la population infantile sont concernés par les allergies alimentaires.
Les conséquences, vous les connaissez peut-être, vont de la simple réaction urticaire au choc anaphylactique pouvant entraîner la mort.
La Directive (2003/89/CE) appliquée dans le droit français depuis 2003 fait obligation aux fabricants de produits alimentaires de mentionner 12 groupes d’allergènes potentiels :
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les céréales contenant du gluten,
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le poisson et les crustacés,
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les œufs,
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les cacahuètes,
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le soja,
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le lait et les produits laitiers, notamment le lactose,
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les fruits à coque (noix, noisette, amandes…),
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le céleri,
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la moutarde,
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les graines de sésame et les sulfites.
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Ces produits sont responsables de plus de 90 % de l’ensemble des réactions allergiques.
Les mentions facultatives
Ce sont des signes officiels de qualité qui s’appuient sur des textes réglementaires avec des cahiers des charges très précis, particulièrement contrôlés par l’État. Vous voyez, tout cela est très réglementé, notamment avec les labels qui suivent.
Les labels demandent aussi des informations très réglementées
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C’est le cas de plusieurs labels ou appellations que vous connaissez :
- Les labels agricoles, comme le Label rouge.
- L’Appellation d’origine contrôlée (AOC), qui garantit une spécificité de l’aliment, liée à un terroir et à un savoir-faire local. Toutes les catégories d’aliments peuvent y accéder. L’Institut national des appellations d’origine (INAO) est chargé de son application.
- L’Agriculture biologique (AB). Le logo “AB” s’applique à des produits dont au moins 95 % des ingrédients sont issus d’un mode de production utilisant des substances non synthétiques pour l’amélioration des sols, la lutte contre les parasites et les maladies, y compris les semences et le matériel de reproduction.
- L’Élevage biologique s’inspire des mêmes principes que l’agriculture biologique dans le domaine de l’alimentation, des soins et des conditions matérielles de l’élevage. Cette réglementation est valable, au niveau européen, pour les bovins, les porcins, les ovins, les équidés, les volailles et les abeilles.
- La “Certification de conformité” est un logo qui atteste que le produit possède des qualités ou suit des règles de fabrication particulières. Par exemple, des jambons supérieurs sans polyphosphates, des salades prêtes à l’emploi dans des conditions de fraîcheur optimums…
- La mention “Provenance Montagne”, pour les produits issus de zone de montagne.
- La mention “Appellation Montagne”, pour les produits issus de zone de montagne et ayant bénéficié d’une certification de qualité (label).
L’étiquetage nutritionnel
En 1993, un décret a officialisé l’étiquetage nutritionnel traduisant une directive européenne. Il est facultatif en France, mais obligatoire lorsqu’il existe une allégation nutritionnelle sur l’emballage (comme “allégé en…” ou “riche en vitamines et minéraux”…).
Faire ses courses relève parfois d’un vrai exercice physique… et intellectuel !
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Doit être affichée la valeur énergétique (en kilojoules et en kcal) avec les protéines, les glucides et les lipides en grammes dont les acides gras saturés et les fibres alimentaires et le sodium.
L’étiquetage nutritionnel s’est enrichi pour les glucides de deux mentions : “dont sucres” et “dont amidon”.
Sucres au pluriel signifie les sucres simples, comme le glucose, le saccharose (le morceau de sucre), le fructose (le glucide majoritaire du fruit), le lactose (le glucide du lait), le maltose (provenant de l’amidon)…
L’amidon est le glucide que l’on retrouve dans les féculents, les céréales…
On peut également trouver des informations sur la quantité d’amidon, de polyols, d’acides gras mono- ou poly-insaturés, de cholestérol, de sels minéraux et de vitamines.
Mais attention, les teneurs en vitamines et minéraux ne peuvent être mentionnées que si elles représentent au moins 15 % des Apports journaliers recommandés (AJR pour 100 g ou 100 ml).
Notez cependant qu’il peut y avoir des écarts entre les teneurs affichées sur l’emballage et les analyses réalisées éventuellement a posteriori. Ces écarts s’expliquent par la variabilité des matières premières, des incertitudes des mesures et des arrondis autorisés.
Les allégations
Si ce mot peut surprendre en langage courant, il est officiel. L’allégation est une mention qui affirme qu’un aliment possède des caractéristiques particulières liées à son origine, sa nature, sa composition, ses propriétés nutritionnelles.
En ce moment, le consommateur aussi à quelques obligations....
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Les allégations sont réglementaires et définies par la loi.
Il en existe trois types :
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les allégations générales,
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les allégations nutritionnelles quantitatives,
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et les allégations fonctionnelles ou relatives à la santé.
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Dans les allégations générales, on trouve les mentions : “Naturel” pour un produit que l’on trouve dans la nature, non traité et sans additif ; “Nouveau”, mention qui ne peut figurer que pendant un an et doit expliquer en quoi cette recette ou cet emballage sont nouveaux.
“Frais” précise, comme son nom l’indique, que ce produit doit posséder, au moment de la vente, les caractéristiques de goût et d’hygiène qu’il présentait lors de sa production ; “Fermier” qui signifie préparé à la ferme à une échelle non industrielle…
Dans les allégations nutritionnelles quantitatives, on trouve : “Allégé en”, il faut alors préciser quel est le nutriment ou l’énergie concerné, cet allègement ne pouvant être réalisé que par rapport à un produit de référence.
La mention “allégé en” doit se référer à un produit déjà existant
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Celui-ci, vous l’avez déjà vu : “Source de vitamines et/ou de minéraux”. Cela est affiché si les teneurs en vitamines et/ou minéraux concernés sont supérieures ou égales à 15 % des Apports journaliers recommandés (AJR) pour 100 g d’aliment solide, ou 7,5 % des AJR pour 100 ml de liquide ou encore à 5 % des AJR pour 100 kcal.
Vous voyez, c'est assez technique. C'est pour ça que cette Lettre d'information est très importante. Allez ! On continue !
“Riche en vitamines et/ou minéraux” si l’aliment contient au moins deux fois les valeurs définies par la mention “source de vitamines et/ou minéraux” ; “Enrichi en vitamines et/ou minéraux” pour les produits auxquels des vitamines et/ou des minéraux ont été ajoutés, si la teneur finale en vitamines et/ou minéraux est comprise entre 15 et 40 % des AJR pour 100 kcal.
Vous verrez la mention “Sans sucre(s)”, si l’aliment ne contient pas de glucides (inférieur ou égal à 0,5 g pour 100 g ou 100 ml) ; et la mention “Source de fibres”, si la teneur en fibres alimentaires est supérieure à 3 g pour 100 g ou 5 g pour 100 ml.
“Source de protéines”, si la teneur en protéines est supérieure à 10 g pour 100 g ou 5 g pour 100 ml. “Riche en protéines”, si la teneur en protéines est supérieure à 20 g pour 100 g ou à 10 g pour 100 ml.
“Teneur en lipides réduite”, si la teneur est inférieure à 50 % de celle d’un aliment courant de référence.
L'étiquetage vous aidera à faire votre choix face à la quantité de produits proposés
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“Teneur garantie en acides gras essentiels” pour les corps gras solides dont les acides gras essentiels représentent plus de 50 % des acides gras totaux et qui ont une teneur particulière en vitamines A et E.
“Teneur en sodium réduite ou appauvrie en sodium” quand il n’y a pas d’ajout de sel dans l’aliment et que la teneur en sodium est inférieure à 50 % de celle d’un aliment courant et inférieure à 120 mg/100 g.
Enfin, concernant le sel, la mention “très réduite” ou “très appauvrie” indique que la teneur en sodium est inférieure à 40 mg/100 g.
Les effets des Oméga-3 sur la santé, que dit la législation sur l’étiquetage ?
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Pour les allégations de croissance, le développement et les fonctions physiologiques normales de l’organisme, elles doivent reposer sur des données scientifiques établies de longue date et non controversées.
Toutes les allégations de santé relatives à l’amaigrissement ou au contrôle du poids, à des références physiologiques ou de comportement (par exemple “réduit le stress”) sont interdites, de même que les références aux médecins ou à leurs associations exprimées en termes vagues qui portent sur le “bien-être” en général.
Concernant les Oméga-3, il été déterminé une classification des allégations acceptées :
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Niveau 1 : Un produit peut être “source en Oméga-3” si les acides gras Oméga-3 sont supérieurs ou égaux à 15 % des apports nutritionnels conseillés (ANC) ou “riche” si les acides gras Oméga-3 sont supérieurs ou égaux à 30 % des ANC.
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Niveau 2 : “Rééquilibrage des apports en Oméga-3”, c’est-à-dire Niveau 1 + rapport oméga 6/Oméga-3 inférieur ou égal à 5 %.
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Niveau 3 : “Les Oméga-3 contribuent au bon fonctionnement de l’appareil cardiovasculaire”, c’est-à-dire Niveau 1 + 2 + teneur en cholestérol inférieure à 150 mg. Vous pouvez constater que cela est très technique et très encadré.
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Un petit jeu ludique pour votre santé
Alors on va faire un petit jeu, cela va occuper tout le monde de façon ludique pendant le confinement.
Ouvrez vos placards et sortez différents produits que vous avez acheté ces derniers temps. Posez-les sur la table et amusez-vous à lire et comparer les étiquettes nutritionnelles et les listes d'ingrédients.
Vous vous rendrez sûrement compte des bons et des mauvais choix que vous avez fait en faisant vos courses. Et en prenant ce réflexe, retourner un produit pour consulter sa composition, je vous assure que vous vous mettez en route vers une alimentation raisonnée et que celle-ci va s’améliorer.
Faire attention à vos choix alimentaires, ce n’est pas réduire vos plaisirs, c’est faire attention à votre santé pour votre bien et pour le bien de votre entourage.
Portez-vous bien, et la prochaine fois que vous pourrez aller faire des courses, pensez à tout ça.
Et d’ici là, je vous laisse regarder cette vidéo, elle vous aidera dans vos choix alimentaires.
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Votre bien dévoué,
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L'ActiBox Minceur Dr Cohen
Savoir Maigrir existe depuis plus de 10 ans. Depuis le début, nous écoutons nos Membres. Nous avons noté que pour certaines personnes, il faut quelque chose en plus, car nous ne sommes pas tous égaux face à la perte de poids. Et je sais de quoi je parle. Il faut donc lever TOUS les obstacles.
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