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Sous le terme « glaces » se cachent en réalité de multiples préparations aux qualités nutritionnelles bien différentes. Et en cette période estivale aux températures parfois caniculaires, une petite glace pour se rafraîchir est souvent la bienvenue. Voici mes conseils pour se faire plaisir sans faire fondre vos efforts !
Les glaces ou crèmes glacées, comme les classiques goûts vanille, café ou chocolat sont souvent les plus courantes. Il s’agit d’une base de crème anglaise reproduite industriellement. C'est un mélange de protéines (laitières et/ou végétales et/ou d'œuf), de matières grasses (laitières et/ou végétales et/ou d'œuf), de sucres et de parfums variés. Rien que ça !
Curieusement, les valeurs caloriques de ces produits ne sont pas aussi effrayantes que ce que leur appellation laisse imaginer. Elles apportent en moyenne 180 à 200 kcal aux 100g et, en raison de la présence de lait, environ 100 mg de calcium pour 100 g, soit presque autant qu’un fromage blanc !
Les glaces dites à l’américaine, plus crémeuses, qui contiennent des inclusions : morceaux de chocolat ou de biscuits, des noix ou/ou des nappages appelés également toppings (chocolat, caramel, coulis de fruits…), sont ainsi enrichies en calories.
Si la base de ces produits reste correcte, l’ajout de ces toppings fait monter en flèche l’apport calorique, et va attiser votre gourmandise. Je vous conseille fortement de vous limiter à des produits simples, dont la liste d’ingrédients est limitée.
Les sorbets se composent d’un mélange d’eau, de sucre et de jus ou pulpe de fruits. Contrairement aux crèmes glacées, aucune matière grasse n’est ajoutée à leur préparation.
Les sorbets riches en fruits, appelés sorbets “plein fruit”, conservent une grande partie de la vitamine C du fruit de base, et quand ce dernieren est bien pourvu (cassis, fraises, etc.), deux boules de sorbet peuvent couvrir jusqu’à un tiers des besoins journaliers en vitamine C.
Les glaces à l’eau, qui sont à base d’eau et de sirop. À ne pas confondre avec les sorbets, elles n’apportent pas de vitamine C ! En fait, c’est de l’eau sucrée…
Les glaces allégées, avec des quantités de matière grasse et de sucre réduites, sont environ 30 % moins caloriques que les recettes originales, mais restent plus riches qu’un simple sorbet. La qualité des ingrédients est à surveiller, tout comme l’ajout d’additifs souvent en surnombre !
Dans la vidéo qui suit, je décrypte différentes glaces que vous pouvez trouver dans le commerce et que les enfants, ou vous-même, peuvent adorer. Alors cet été, faites-vous plaisir en toute conscience et apprenez à conseiller aux enfants les meilleures glaces !
Bon visionnage !
Fréquentez-vous les lieux de restauration rapide. En 2000, sur 150 000 établissements, plus de 17 000 proposait de la restauration rapide pour atteindre 50 000 établissements de restauration rapide. En 2020 il y avait déjà 11000 restaurants d’autoroute en France. Et cet été, vous allez certainement passer par là.
Nous consacrons à peine une demi-heure pour le repas de midi, la journée continue s’impose de plus en plus, les femmes travaillent… Cependant, nous ne nous focalisons pas sur les fast-foods, qui ne représentent pour les adultes que 3 % des repas pris hors domicile, alors que nous prenons environ 25 % de nos repas sur le lieu de travail, chez des amis 12 %, dans un café ou une cafétéria 8 %, au restaurant ou dans une pizzeria 11 %, à la cantine 21 % et 20 % dans d’autres situations[1].
La restauration rapide pose cependant plusieurs problèmes. Elle a contribué à raccourcir le temps de chaque repas, l’intervalle entre l’achat et la consommation étant relativement court. De plus, elle sollicite plus le consommateur.
Ainsi, pour améliorer l’offre industrielle, il est toujours tentant de multiplier les recettes ou de flatter les goûts en augmentant les graisses ou le sucre.
Elle participe donc à une déstructuration de notre mode alimentaire, tout en contribuant à entretenir la confusion. En effet, qui est vraiment capable de donner la réelle valeur nutritionnelle d’un sandwich ?
Par exemple, un classique jambon-beurre, acheté au bistro du coin, contient environ 80 g de pain, 20 g de beurre et 100 g de jambon, en faisant un produit à 230 kcal pour 100 g et 12 % de matières grasses. Un sandwich suédois au pain nordique surimi de chez Sodebo, contient, quant à lui, 200 kcal pour 100 g, 5,4 % de lipides et 30 % de glucides. Un bel exemple de la réussite industrielle.
Enfin, un sandwich de pain aux céréales avec du rôti de porc et de la moutarde à l’ancienne de chez Sodebo contient 286 kcal pour 100 g, avec 16 % de lipides et 22 % de glucides. Sur le plan nutritionnel, quel rapport y a-t-il entre ces deux derniers sandwichs ?
Aucun ! Pourtant, en l’achetant, le consommateur a eu le sentiment de le choisir plus ou moins gras, en fonction de l’ingrédient principal.
En réalité, sa valeur dépend principalement des différentes quantités utilisées par l’industriel, ainsi que des ajouts de matières grasses. Quant au sandwich grec adoré des ados, il contient de la mayonnaise, des frites et, de plus en plus souvent, de la viande de veau, et non pas d’agneau, pour un total de 1 301 kcal !
De même, on a souvent tendance à comparer un sandwich avec une pizza, une salade avec des sushis… Pourtant, sur le plan nutritionnel, ces produits n’ont rien à voir les uns avec les autres. Certains étant des assemblages de fibres et de matières grasses, d’autres de sucres et de protéines, quand il s’agit d’un sandwich au jambon, par exemple.
La restauration rapide est également le premier secteur consommateur de frites, avec 20 % du marché français de la frite surgelée. Regardons de plus près les différentes spécialités…
Et avec l’arrivée des vacances, vous serez nombreux à prendre un sandwich sur l’aire d’autoroute. Voici mes conseils pour un encas rapide, correct et bien pensé !
[1]Source : Enquête INCA 1999 : AFSSA – CREDOC – DGAL.
Sur ce sujet, vous êtes nombreux à me poser des questions. Puis-je donner du ketchup à mes enfants, quelle quantité de mayonnaise puis-je consommer ? Est-ce que la sauce barbecue est trop riche ?... Aujourd’hui, je réponds à vos questions sur les sauces toutes prêtes !
Les sauces pour plats cuisinés sont des assaisonnements plus ou moins liquides, chauds ou froids, qui accompagnent ou servent à cuisiner un mets. La fonction première d’une sauce est d’ajouter à un aliment une saveur qui s’harmonise avec la sienne et non d’en masquer les goûts comme cela est trop fréquemment le cas.
Contrairement à la légende, toutes les sauces ne sont pas grasses, si l’on fait exception des sauces au beurre et de certaines variétés. Il faut distinguer les sauces déshydratées dont le taux calorique est élevé aux 100 g, ce qui est normal puisqu’on en utilise de petites quantités.
Les sauces liquides, les coulis et le concentré de tomates, par exemple, sont particulièrement maigres. Même si, parmi les sauces tomates, la sauce olives et tomates Sacla est cinq fois plus grasse que celle de Buitoni. Dans un autre genre, les sauce hollandaise et au beurre blanc sont certes grasses, mais la palme revient à la pesto alla genovese de Barilla, avec près de 56 g de lipides pour 100 g.
Consommez-en avec modération : deux cuillerées à soupe de cette préparation contiennent environ 20 g de lipides, alors que l’apport lipidique d’une sauce hollandaise s’élève à 4 g de lipides, ce qui est peu.
Voyons certaines sauces en détail.
Depuis son apparition dans les foyers français, le ketchup souffre d’une mauvaise réputation. Sauce riche en kcal pour certains, mauvaise pour la santé selon les autres… mais aujourd’hui, il est temps de démentir de telles rumeurs : ces accusations sont fausses.
Le ketchup est très maigre et essentiellement constitué de glucides. De plus, il contient du lycopène actif, un antioxydant qui aurait des vertus protectrices contre le cancer de la prostate. Mais, car il y a toujours un mais, le ketchup est très salé.
Donc, comme toujours, la modération est de rigueur. À signaler : d’une marque à l’autre, les ingrédients et valeurs nutritionnelles peuvent varier fortement, comme toujours, lisez bien les étiquettes, préférez les produits contenant le plus de tomate au 100 g notamment, les allégés ne sont pas forcément meilleurs mais plus chers.
Le vinaigre résulte de l’oxydation de vin ou d’alcool par la fermentation alcoolique ; la transformation de l’alcool en acide acétique, l’acétification, se produisant au contact de l’air. En France, on consomme surtout des vinaigres de vin, mais il existe aussi des vinaigres d’alcool.
Le degré d’acidité doit être au moins de 6 degrés d’acide acétique. Le vinaigre balsamique, quant à lui, provient d’un mélange de vin et de moût de raisin cuit. En général, la valeur calorique des vinaigres est très faible, sauf pour le velours de balsamique, vous pouvez donc les utiliser au quotidien dans vos vinaigrettes en les variant ou même pour déglacer une viande ou une poêlée de légumes !
La vinaigrette traditionnelle a déserté les rayons des supermarchés. Aujourd’hui, on ne trouve, la plupart du temps, que des produits allégés. Leur valeur calorique est d’environ 250 kcal pour 100 ml. Les sauces crudités sont finalement plus grasses, entre 350 et 440 kcal.
Un petit conseil : ne versez jamais la sauce sans en évaluer la quantité, même s’il s’agit de vinaigrette allégée (j’en parle dans la vidéo vous allez voir). Une à deux cuillerées à soupe donnent largement satisfaction.
Personne n’est dupe Un mélange d’huile, d’œufs et de moutarde, ce condiment onctueux, très apprécié par les enfants, est très riche. Plus de 700 kcal au 100 g ! Alors, y a-t-il véritablement un intérêt à consommer de la mayonnaise allégée, deux fois moins calorique ? Si c’est pour en manger deux fois plus, cela ne sert à rien.
En revanche, pourquoi pas si on suit un régime restrictif et que l’on est un accro de ce condiment. L’idéal, lorsque l’on ne peut s’en passer, est de se faire plaisir en dégustant de la mayonnaise en quantité raisonnable (une cuillerée à soupe), deux à trois fois par semaine seulement.
Les plus grasses demeurent les non allégées, qui se valent toutes en nombre de kcal. Seul le goût fera la différence.
La moutarde classique est un produit aromatique en général peu gras. Cependant dans les supermarchés, on trouve des moutardes contenant peu de lipides, comme les moutardes condiment de Maille, Amora ou la moutarde Picadilli Amora, et des moutardes plus gourmandes et plus grasses, comme la moutarde Fin Gourmet de chez Maille.
Lorsque son utilisation est occasionnelle et en petite quantité, le choix de la moutarde a peu d’importance, mais dans le cas contraire il est préférable de choisir une moutarde plus classique.
La moutarde est employée fréquemment dans des sandwichs, avec de la viande, dans des salades, ce qui peut représenter une quantité, donc un apport calorique non négligeable à la fin de la journée.
À surveiller !
Pour rendre les sauces homogènes, les fabricants utilisent des émulsifiants. Ils sont indispensables dans la préparation des sauces, permettant parfois de limiter les apports en graisse dans certains plats.
Quant aux épaississants et aux gélifiants, ils donnent une texture au produit et évitent parfois leur présentation sous forme liquide. Regardez bien la liste d’ingrédients, comme toujours la plus courte est à préférer !
Mais des sauces pour donner du goût à votre alimentation il y en a plein d’autres. Dans la vidéo qui suit, je vous parle aussi du tahini, de la sauce caesar, de la sauce tomate préparée ou encore de la sauce burger... pour les gourmands/
Donnez du goût à vos aliments mais surveillez bien l’apport énergétique des sauces.
Bon visionnage !
Comment perdre son petit ventre ? Dans cet article, explorons les différentes raisons qui peuvent être à l'origine de l’augmentation de votre tour de taille. Pour vous aider à retrouver un ventre plus plat et harmonieux, j’ai des solutions à vous proposer.
Avant de chercher des solutions pour abaisser son tour de taille, il est important de comprendre les différentes causes qui peuvent y contribuer. Outre l'excès de graisse, il existe d’autres raisons. Il faut également penser à une éventuelle éventration, des problèmes de posture et des conditions médicales spécifiques, notamment le syndrome métabolique.
Chaque facteur peut influencer la forme de votre ventre et nécessiter une approche différente pour y remédier.
Je voudrais mettre l'accent sur l'importance de diagnostiquer et de traiter les problèmes de santé sous-jacents pouvant contribuer à l’élévation du tour de taille. Une éventration peut nécessiter une intervention chirurgicale pour réparer les muscles abdominaux, tandis que les problèmes de posture peuvent être améliorés par la kinésithérapie.
De plus, je vous mets en garde contre le syndrome métabolique et ses conséquences sur la santé globale, vous encourageant ainsi à avoir une alimentation équilibrée et réduire votre surpoids pour réduire la graisse abdominale.
La réduction du tour de taille passe par une alimentation et une activité physique adaptées. Il existe 2 techniques principales :
- l'augmentation de l'activité physique
- et le rééquilibrage alimentaire.
Il est recommandé de réduire la consommation de sucres rapides, d'éliminer l'alcool et de privilégier les glucides complexes, les protéines de qualité et une alimentation équilibrée. Bien sûr, je vous encourage à pratiquer une activité physique régulière, cela participe à votre motivation et à votre bonne santé.
Parfois, il peut être difficile d’obtenir un ventre plus plat, malgré la perte de poids. Le tissu fibreux peut se former et résister aux méthodes traditionnelles de perte de poids.
Dans ces situations, des techniques chirurgicales peuvent être envisagées (liposuccion…). Bien que coûteuses, elles sont parfois le seul moyen de retirer un excès de gras qui ne veut plus partir.
Perdre du tour de taille nécessite une approche globale et personnalisée. En comprenant les différentes causes possibles d'un ventre proéminent et en adoptant une alimentation équilibrée, vous atteindrez vos objectifs.
N'oubliez pas que la patience et la persévérance sont essentielles lorsqu'il s'agit de perdre du poids et de remodeler votre corps. Adoptez une approche holistique et réaliste pour atteindre vos objectifs de santé et de bien-être.
Regardez bien la vidéo, je vous explique tout en détail !
Bon visionnage
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L’insuline est-elle responsable de tous les maux dont on l’accuse, et notamment le surpoids et l’obésité ? Tentons de répondre à cette question à travers cet article et la vidéo qui l’accompagne.
L’insuline est une hormone sécrétée par le pancréas. Elle est chargée de réguler le taux de sucre dans le sang, en le stockant dans les muscles, le tissu adipeux et le foie.
L’insuline est utilisée comme médicament pour traiter les personnes souffrant de diabète (de type I comme de type II à un stade avancé) car leur pancréas est incapable de produire de l’insuline ou d’en produire en quantité suffisante.
Les personnes atteintes de diabète n’ont pas ou pas suffisamment d’insuline leur permettant de stocker le glucose dans l’organisme, il est donc éliminé dans les urines (on appelle glycosurie la présence de sucre dans les urines).
Mais lorsque le patient reçoit de l’insuline, la glycosurie disparaît et le glucose est stocké dans l’organisme, entraînant un gain de poids. Ainsi, l’insuline ne fait pas grossir à proprement parler, mais fait retrouver le poids correspondant à sa consommation alimentaire.
L'index glycémique : Il mesure la vitesse à laquelle les sucres d’un aliment sont assimilés et font monter la glycémie (taux de sucre dans le sang), dans les 2 heures après son ingestion par rapport à un sucre de référence (le pain ou le glucose dont l’IG est de 100). Les aliments à indice glycémique élevé (+70) provoquent une hausse rapide du taux de sucre, ce qui entraîne un pic d'insuline ensuite.
Il est souvent conseillé de privilégier les aliments à indice glycémique bas (-55) pour maintenir une glycémie stable. Cela ne signifie pas qu’il faille bannir tous les aliments à IG haut : il s’agira alors d’abaisser la charge glycémique d’un repas, en ajoutant une belle portion de fibres, une juste quantité de graisses et de protéines.
Lorsque nous consommons des aliments riches en sucre ou à indice glycémique élevé, notre corps sécrète une grande quantité d'insuline pour réguler la glycémie. Cela peut entraîner, à moyen ou long terme, une résistance à l'insuline et des problèmes de santé.
Il est donc essentiel de limiter les pics d'insuline en favorisant une alimentation équilibrée et en évitant les excès de sucre ; surtout de manière isolée.
Une consommation excessive de sucres rapides semble favoriser de très nombreuses maladies, y compris le cancer du sein. Elle provoque à terme un effet d’addiction, une augmentation de la sécrétion d’insuline qui favorise la prise de poids et une perte de la sensation de satiété, notamment lorsqu’ils ne sont pas consommés avec des fibres (par exemple dans les jus de fruits, auxquels il vaut mieux préférer les fruits entiers du fait de leur teneur en fibres).
Mais le surpoids favorise la résistance à l’insuline, c’est un cercle vicieux qui demande de limiter la consommation de certains sucres.
On recommande de ne pas dépasser 5 à 10 % de sa ration calorique quotidienne sous forme de sucres simples, soit au maximum 50 g par jour chez les femmes et 60 g chez les hommes environ.
Les apports en sucres simples doivent être contrôlés de près durant un régime, et on privilégie la consommation de sucres complexes chez les personnes en surpoids ou chez les diabétiques.
Regardez bien la vidéo qui suit. Elle est très complète et vous en saurez plus sur cette fameuse hormone qui est l'insuline qu'il faut savoir ménager pour garder une bonne santé.
Bon visionnage!
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